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Qu’est-ce que l’actionnariat populaire ? Actionnariat et capitalisme populaire participatif

Rôle des élus dans l'actionnariat populaire
Le rôle des élus dans la revitalisation de l'actionnariat populaire au service des TPE et PME locales et de proximité

Ce n'est pas brader les grands groupes gérés par l'État aux particuliers. L'actionnariat populaire consiste à développer l'actionnariat de proximité régional en direction des TPE et PME locales et de proximité pour les aider à croître, créer des emplois et se pérenniser. Il s'agit de revitaliser économiquement les régions touchées par les délocalisations et la mondialisation.

 

Le capitalisme populaire doit naître du désir spontané de contribuer aux projets de développement d'entreprises locales, régionales voire nationales, apportant croissance économique locale, dividendes et peut-être, dans une moindre mesure, plus-values.

 

Il est essentiel que les dirigeants des PME organisent la pérennité de leur entreprise à long terme, même après leur départ. Les investisseurs particuliers ont souvent une perspective à long terme, espérant que leur placement soit un complément de retraite.

 

Le capitalisme populaire ne consiste pas à céder des actions d'entreprises détenues par l'État aux petits épargnants à un prix garantissant une revente lucrative à des groupes financiers (ADP, FDJ, ENGIE, etc.).

 

Le capitalisme populaire doit permettre au public d'acheter des parts de TPE et PME ambitieuses répondant aux besoins économiques et humains locaux ou régionaux.

 

Plus généralement, toute personne physique devrait pouvoir acheter des actions d'une entreprise sans intermédiaire et participer aux décisions de son développement, comme par exemple le concept d'accession à la propriété en permettant aux locataires de devenir propriétaires de leur logement.

 

C’est dans les années 1980 que s’est développé spontanément un actionnariat populaire régional à travers la France. L'idée qui s’est amorcée en énorme succès à partir de 1981 a servi de tremplin aux privatisations en 1986.

 

Le capitalisme populaire doit amener une nouvelle forme juridique de propriété, de gestion et de décisions au sein des entreprises, créant une nouvelle forme de répartition des richesses de façon plus équitable entre les Français.

 

En 1989, il y avait 9 millions d'actionnaires investissant en direct dans les entreprises. La gauche, avec Jacques DELORS, avait lancé avec succès l'actionnariat populaire en créant le Second Marché en 1983 (une idée que CiiB lui a apportée).

 

À l'époque, il existait 7 bourses régionales permettant d'investir en direct dans les PME locales, elles ont fermé, entraînant la disparition de l'épargne de proximité alternative dans les régions.

 

Les Français sont toujours prêts à investir dans les PME créatrices de richesses à redistribuer ! Nous devons faire revenir les 6 millions d'épargnants qui se sont dispersés vers d'autres investissements, afin de les orienter à nouveau à associer leur épargne dans les entreprises régionales.

 

CiiB a repensé le concept des bourses régionales et l'a adapté à notre époque avec les Carnets d'Annonces.

 

CiiB, pionnier des Cabinets de conseil en introduction en bourse (créé en 1987), réactive son activité d'introduction en bourse : Forfait 40K€ pour introduction sur Euronext Access clé en main et 1 an de suivi des cotations en bourse.

 

CiiB a mis au point et développe les mini-bourses électroniques locales pour épargnants et PME, contribuant au développement économique régional, en métropole et outre-mer. Ce n'est pourtant qu'un début, ses logiciels régulièrement modernisés, des améliorations sont possibles.

Le Carnet d'Annonces, labellisé en 2015 par le pôle mondial de compétitivité Finance Innovation

Cooordonnées de CIIB :

Tél. 01 42 46 11 73

Email : contact@ciib.fr

Site : www.ciib.fr

 

 

Les élus locaux, conseillers régionaux, parlementaires ou président ont-ils intérêt à aider à déclencher ce renouveau ?

 

Ce concept de mini-bourse individuelle par entreprise, que CIIB a mis au point depuis une trentaine d'années et continue de faire évoluer, est opérationnel. Candidats aux élections, ajoutez-y une législation qui ne décourage pas les épargnants à prendre des risques et gagner de l'argent en aidant financièrement les PME locales à se développer ! Et des millions d'épargnants redeviendront actionnaires en direct dans les PME !

 

Quel député reconnaîtra la nécessité d'un financement Alternatif / Participatif par les Carnets d'Annonces pour les TPE, PME et ETI régionales via l'actionnariat direct, préparant à l'introduction en bourse ? La solution pour combattre le chômage, les inégalités et la pauvreté ?

 

Relancer sous forme de "Micro-bourses électroniques individuelles" son Financement Alternatif développé dans les années 1980, dont de nombreuses entreprises (Zodiac, Clarins, Delta dore, Clen, Systran, etc., voir www.ciib.fr/realisations) sont passées entre les mains de CiiB.

 

Aujourd'hui sa "Micro bourse financement participatif" contre le chômage, vise le plein emploi, expression encore ignorée des élus alors qu'ils n'ont aucune solution pour développer les fonds propres des TPE, PME et ETI, les véritables créateurs d'emplois en France

 

Aucun candidat à la présidence n'a à ce jour proposé ou inscrit clairement dans son programme, comme objectif, l'inversion de la courbe du chômage. Hollande a eu lui, le courage de se fixer cet objectif. Il n'a pas tenu compte de : "Contre le chômage on a tout essayé", il a essayé une fois de plus. Au moins il a tenté, sans prendre la bonne route, car lui aussi ignorait l'existence possible d'une énorme force : l'actionnariat populaire qui pourrait être composé de 10 millions d'épargnants comme en 1991. Aujourd'hui, ils ne sont plus que 3 millions. Cette force financière est à reconstruire avec le concept de "bourses de voisinage" et le réseau national de franchisés et partenaires à créer, que CiiB peut mettre en place dès qu'il aura achevé son augmentation de capital en 2023.

 

Élection présidentielle : le financement des PME aux abonnés absents

 

"Mesdames et Messieurs les candidats à la présidentielle, tous bords confondus, vous redécouvrez les vertus des petites et moyennes entreprises et ne manquez pas de les courtiser dans vos propositions. 

 

Pourtant, curieusement, si vous vous engagez à alléger leur fardeau social ou fiscal, vous parlez peu de leur financement. Or, chacun sait que les entreprises françaises manquent de fonds propres et qu'elles peinent à atteindre une taille respectable, finissant trop souvent dans le giron d'un groupe international.

 

En fustigeant les excès des marchés financiers, vous vous focalisez sur l'aspect négatif de l'investissement en actions. De grâce, ne jetez pas le bébé avec l'eau du bain…

 

Favoriser la collecte, par l'actionnariat direct, de l'épargne individuelle : l'investissement participatif, dans les entreprises, présente deux avantages forts :

  • offrir aux PME, notamment régionales, un outil de financement alternatif à l'endettement et aux fonds d'investissement classiques, grâce à une épargne de proximité en circuit court ;
  • à l'heure des taux bas, offrir aux épargnants un rendement supérieur aux livrets en tous genres ou à l'assurance-vie en euros ; l'investissement en actions a toujours été reconnu comme l'un des plus performants sur le long terme.

Le nombre d'actionnaires individuels en France, qui avait atteint un record de 9,7 millions en 1990, puis 7,2 millions en 2003, est tombé à 3 millions en 2016. Il serait temps d'inverser la tendance.

 

Alors, Mesdames et Messieurs les parlementaires, et lors des grands débats, posez-vous les bonnes questions et commencez par exemple, par mettre en application l'esprit de l'article 172 de la Loi du 10 juillet 2015 sur la création de plateformes de cotations régionales ou de bourses régionales. Notre concept : l'investissement participatif en actions négociables sur les mini-bourses individuelles locales y répond parfaitement.

 

Vous savez que les TPE, PME et ETI sont les championnes de la création d'emplois. Donnez-leur les moyens de se développer et réconciliez les Français avec leurs entreprises !"

 

 

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Elections municipales, régionales, législatives et présidentielles
Mobiliser et développer l’épargne locale dans les entreprises régionales
- les élus peuvent susciter et encourager la mise en place de marchés d’actions d’entreprises locales ou régionales
- Comment les collectivités locales pour mettre en place, mobiliser et développer l’épargne locale dans les entreprises régionales
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